Sans doute une des saisons les plus agréable pour la pratique de l'équitation : les terrains séchent petit à petit , les températures grimpent, les chasseurs ont disparus, pas encore trop
d'insectes, les jours rallongent...c'est la saison idéale pour les longues promenades, les randonnées, pour profiter du changement de couleur de la nature....

Côté soins : attention à la mise à l'herbe qui doit être progressive (déjà abordée),coliques et fourbures sont extrèmement dangereuses! sur une semaine on passe de une à quatre heures d'affilées puis sur encore une semaine jusqu'à la journée complète en diminuant en même temps l'apport de fourrage et de compléments jusqu'à n'avoir que l'herbe au bout de quinze jours.
L'état des clôtures doit bien sûr être soigneusement vérifié...parce que c'est bien connu, l'herbe est toujours meilleure ailleurs!
Prévoir un vermifuge deux ou trois jours avant la mise au pré pour que le cheval ait le temps d'éliminer sans contaminer la nouvelle pature.
Le poil tombe petit à petit, attention au risque de coup de froid : le poil encore long, la transpiration, les soirées qui fraichissent vite...et voilà le coup de froid : abuser du bouchonnage ou des couvertures absorbantes!
La période de la mue peut aussi entraîner une certaine fatigue chez le cheval...être à l'écoute! Tout comme le cheval qui se retrouve tout d'un coup au pré où il va marcher une dizaine d'heures par jour à la recherche des meilleurs brins, et où il pourra piquer un petit galop comme bon lui semble sera beaucoup plus calme au travail que quand il était enfermé au box ou cantonné au paddock!
Tant que la boue n'a pas disparu : attention aux crevasses et à la gale de boue qui peut encore persister (douche, desinfection, séchage, pommade cicatrisante).
Côté alimentation: pour un cheval avec un travail modéré, l'herbe peut suffire avec une pierre à sel vitaminée. Attention, le surpaturage est aussi dangereux que la sous-alimentation! Ne pas hésiter à remettre le cheval la nuit dans un paddock moins riche. Pour un cheval avec un travail plus poussé ou si l'herbe n'est pas assez riche on apportera un complément en foin et en concentrés.
Côté travail: c'est le moment de vérifier si le travail d'hiver a porté ses fruits : qqs leçons avec un moniteur, un stage, un petit concours (et à la limite peut importe la discipline!) pour faire le point.
On va ensuite pouvoir affiner tout ça et reprendre les séances plus poussées en extérieur, mise en souffle, trotting, dénivelés, petit galop...
Les séances du soir vont redevenir de vraies séances, le travail à pied sous abri va laisser sa place aux grands espaces, balades, mais aussi travail en liberté par exemple.
Qui dit printemps dit aussi nettoyage de printemps! C'est le moment d'affiner le toilettage des crins mais surtout de se pencher à fond sur les cuirs, de donner un coup de peinture aux barres d'obstacles...

Côté soins : attention à la mise à l'herbe qui doit être progressive (déjà abordée),coliques et fourbures sont extrèmement dangereuses! sur une semaine on passe de une à quatre heures d'affilées puis sur encore une semaine jusqu'à la journée complète en diminuant en même temps l'apport de fourrage et de compléments jusqu'à n'avoir que l'herbe au bout de quinze jours.
L'état des clôtures doit bien sûr être soigneusement vérifié...parce que c'est bien connu, l'herbe est toujours meilleure ailleurs!
Prévoir un vermifuge deux ou trois jours avant la mise au pré pour que le cheval ait le temps d'éliminer sans contaminer la nouvelle pature.
Le poil tombe petit à petit, attention au risque de coup de froid : le poil encore long, la transpiration, les soirées qui fraichissent vite...et voilà le coup de froid : abuser du bouchonnage ou des couvertures absorbantes!
La période de la mue peut aussi entraîner une certaine fatigue chez le cheval...être à l'écoute! Tout comme le cheval qui se retrouve tout d'un coup au pré où il va marcher une dizaine d'heures par jour à la recherche des meilleurs brins, et où il pourra piquer un petit galop comme bon lui semble sera beaucoup plus calme au travail que quand il était enfermé au box ou cantonné au paddock!
Tant que la boue n'a pas disparu : attention aux crevasses et à la gale de boue qui peut encore persister (douche, desinfection, séchage, pommade cicatrisante).
Côté alimentation: pour un cheval avec un travail modéré, l'herbe peut suffire avec une pierre à sel vitaminée. Attention, le surpaturage est aussi dangereux que la sous-alimentation! Ne pas hésiter à remettre le cheval la nuit dans un paddock moins riche. Pour un cheval avec un travail plus poussé ou si l'herbe n'est pas assez riche on apportera un complément en foin et en concentrés.
Côté travail: c'est le moment de vérifier si le travail d'hiver a porté ses fruits : qqs leçons avec un moniteur, un stage, un petit concours (et à la limite peut importe la discipline!) pour faire le point.
On va ensuite pouvoir affiner tout ça et reprendre les séances plus poussées en extérieur, mise en souffle, trotting, dénivelés, petit galop...
Les séances du soir vont redevenir de vraies séances, le travail à pied sous abri va laisser sa place aux grands espaces, balades, mais aussi travail en liberté par exemple.
Qui dit printemps dit aussi nettoyage de printemps! C'est le moment d'affiner le toilettage des crins mais surtout de se pencher à fond sur les cuirs, de donner un coup de peinture aux barres d'obstacles...